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Samedi 22 mars 2025 a eu lieu un vernissage de l'exposition de médailles dédiées d'éminents médecins et des hommes à la frontière de la culture et de la médecine, dont un prêtre mariavite, le Père Igancy M. Joseph Leliwa-Kopystyński - protecteur des orphelins, philanthrope.

Suivi artistique et substantiel de l'exposition : Oskar OSTAFIN (Vice-président de la Société des Passionnés d'Histoire de la Médecine de Cracovie) et Professeur Tomasz PUDŁOCKI (Université Jagellonne de Cracovie).

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« SALUS REI PUBLICAE… »

POLOGNE – FRANCE | CULTURE – MÉDECINE

Exposition sur les médecins à travers les siècles : Entre science et culture

L'exposition est consacrée aux médecins à travers les siècles, qui non seulement ont apporté une contribution significative au développement de la médecine, mais ont également élevé la culture médicale au rang d'art par leur travail. La première partie de l'exposition est composée de médailles rendant hommage aux grandes figures de la médecine, en commençant par Hippocrate, souvent qualifié de « père de la médecine ». Il fut l’un des premiers à fonder la pratique médicale sur l’observation systématique, en tirant des conclusions permettant d’établir un diagnostic et, par conséquent, d’adapter les traitements. La série de médailles Rerum Humanarum Curiosus propose ainsi une sélection de médecins qui ont marqué l’histoire de la médecine européenne de manière indélébile. Les enseignements de Galien et ses méthodes de préparation des médicaments sont restés une référence en Europe occidentale pendant 1 500 ans après sa mort. Le Canon de la médecine d'Avicenne a profondément influencé l'enseignement médiéval de la médecine, devenant un pilier du savoir médical. Moïse Maïmonide, en plus d’être médecin, s’illustra en tant que philosophe et représentant de l’aristotélisme, créant un système philosophique synthétisant la logique, la rhétorique, la métaphysique, la politique et les sciences naturelles. Paracelse initia et popularisa considérablement l’idée de la iatrochimie, où la chimie avait pour but principal de découvrir de nouveaux remèdes. Il étudia de nombreuses substances sous l’angle de leur utilisation thérapeutique et formula la célèbre maxime : « Qu’est-ce qui est un poison ? Tout est poison et rien n’est poison. Seule la dose fait qu’une chose est un poison. » Herman Boerhaave est considéré comme un pionnier de l’école clinique et l’un des fondateurs des hôpitaux universitaires et de l'enseignement médical moderne. Il introduisit notamment l’apprentissage au chevet du patient, en complément des cours théoriques en amphithéâtre.

Albrecht von Haller, botaniste et médecin, systématisa les connaissances sur la flore et produisit une œuvre critique et exhaustive sur l’anatomie et la physiologie de son époque, qui posa les bases de la physiologie expérimentale moderne. Alexis Carrel, lauréat du prix Nobel, contribua au développement de la médecine et de la biologie par ses travaux sur la transplantation d’organes et la culture cellulaire. L’invention des techniques de suture vasculaire permit des avancées majeures en transplantation, tandis que ses recherches sur les cultures tissulaires jouèrent un rôle essentiel dans la compréhension des virus et le développement des vaccins. Albert Schweitzer, quant à lui, développa une éthique basée sur le respect de la vie. Il formula la célèbre pensée : « Je suis une vie qui veut vivre, au milieu d’une vie qui veut vivre. » Cette vision implique un devoir de protection de la vie et de soulagement de la souffrance. Ainsi se dessine l’histoire de la culture médicale en Europe : d’une part, ancrée dans la science, et d’autre part, nourrie par la philosophie.

Médecins et écrivains : Quand la plume rencontre le scalpel

La deuxième partie de l’exposition est dédiée aux médecins qui, en plus de leur pratique, se sont illustrés dans la littérature. Cette série de médailles honore ainsi les médecins connus non pas uniquement pour leurs contributions médicales, mais aussi pour leurs écrits qui ont enrichi la littérature européenne. François Rabelais, dont l'œuvre oscille entre satire sociale et fantaisie, ouvre cette section. À travers lui, nous passons en revue divers genres littéraires investis par les médecins-écrivains : du roman d’aventure et policier d'Arthur Conan Doyle, aux récits de mœurs de William Somerset Maugham, en passant par les pièces de théâtre d'Anton Tchekhov. L’exposition explore également des genres plus contemporains, comme l’essai et la science-fiction, avec deux écrivains polonais formés à la médecine : Tadeusz Boy-Żeleński et Stanisław Lem. Ce dernier, dans L’Hôpital de la Transfiguration, propose une réflexion philosophique et morale profonde sur la condition humaine.

Père Ignacy M. Joseph Leliwa-Kopystyński : Médecin, philanthrope et homme de foi

Le point culminant de l'exposition est la médaille dédiée à Ignacy M. Joseph Leliwa-Kopystyński – médecin, philanthrope, prêtre et prêtre de l’Église Vieille-Catholique Mariavite. À cet égard, j’adresse mes plus sincères remerciements à Mgr M. Daniel Mames, grâce à qui cette exposition a pu bénéficier d’un cadre d'exposition digne de sa portée, tout en rendant hommage à cet homme exceptionnel.

Médecins et arts : Quand la médecine inspire la création

La dernière section de l'exposition est consacrée aux médecins polonais qui, en plus de leur engagement médical, ont marqué le domaine culturel. Une sélection délibérée a été faite pour refléter différentes disciplines artistiques. Henryk Eustachy Szopowicz s’est

illustré dans la musique, tandis que Henryk Kunzek s’est distingué en peinture et en sculpture. Władysław Szumowski, quant à lui, a profondément influencé l’histoire et la philosophie de la médecine. Son travail a jeté les bases du développement de ces disciplines et, en quelque sorte, contribué à ce que nous puissions aujourd’hui admirer l’histoire de la médecine à travers cette exposition. En tant que fondateur de la Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie, il mérite un hommage particulier, car sans sa passion pour la recherche et la diffusion du savoir, de nombreuses initiatives auraient pu sombrer dans l’oubli.

Le Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie célèbre cette année le centenaire de sa fondation.

La première réunion organisationnelle eut lieu le 10 mai 1925. Dans le premier rapport de la Société, on pouvait lire : « Un groupe de personnes de bonne volonté a décidé de fonder une telle société à Cracovie. » L’appel à la création de la Société fut signé par les professeurs Stanisław Ciechanowski, Adam Łobaczewski, Ernest Maydell, Stanisław Maziarski, Jan Pilz, Aleksander Rosner, Władysław Szumowski, Julian Talko-Hrynkiewicz et Leon Wachholz, auxquels se joignit également Ksawery Mikucki, président du Gremium des Pharmaciens. Ces personnes furent reconnues comme membres fondateurs du Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie. L’exemple de l’engagement de deux professeurs, Walery Jaworski – initiateur du musée historico-médical – et Adam Wrzosek – continuateur de cette idée, devait servir de modèle pour définir le rôle de la Société. En reprenant les mots de Wrzosek, on peut dire que l’objectif de la Société était de rassembler tout ce qui, dans le domaine de la médecine et de la pharmacie, avait été accompli par les médecins et pharmaciens polonais sur le territoire polonais, depuis les temps les plus anciens jusqu’à aujourd’hui, et de transmettre cette mémoire aux générations futures. Włodzimierz Bugiel, médecin, ethnographe et anthropologue basé à Paris, fut l’un des ardents défenseurs de la création d’une société historico-médicale sous cette forme. Connu pour ses travaux sur Józef Struś ainsi que pour ses traductions en français de la littérature polonaise et ses études sur la culture et l’histoire polonaises, il devint par la suite membre de la Société. L’activité de la Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie s’exprima avant tout par l’organisation de réunions scientifiques abordant des thèmes liés à l’histoire de la médecine polonaise et universelle. Par la suite, elle s’attacha également à la préservation du patrimoine. En 1930, la tombe dégradée de Sebastian Petrycy fut restaurée, et en 1932, un inventaire et une documentation des tombes des médecins de Cracovie furent entrepris, menant à la préparation de la monographie Monumenta medica Cracoviensia. Sous la direction de Władysław Szumowski, une série de publications intitulée Éditions de la Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie vit le jour. Après des années, toutes ces initiatives

furent reprises et développées avec un élan nouveau par Zdzisław Gajda. Dès le début des années 90, il établit une collaboration toujours active à ce jour avec la sculptrice Małgorzata Kot. De cette collaboration artistique naquirent des dizaines de médailles rendant hommage aux médecins ayant marqué l’histoire, depuis ses débuts jusqu’à l’époque contemporaine. À l’occasion de son centenaire, la Société met en œuvre une série d’initiatives à la fois expositionnelles et éditoriales. D’une part, il s’agit d’un bilan d’un siècle d’accomplissements et d’expériences, et d’autre part, d’un jalon dans l’histoire de la Société qui ouvre de nouvelles perspectives pour l’avenir.

Remerciements

Je tiens à exprimer ma profonde gratitude aux personnes qui ont permis la réalisation de cette exposition dans la forme que vous pouvez admirer aujourd’hui. Un immense merci au Professeur Tomasz Pudłocki pour son soutien inestimable dans l’organisation de cet événement, ainsi qu’à Marta Trojanowska, dont les conseils experts et la sensibilité artistique ont été essentiels à la mise en valeur de cette exposition. Je remercie également le Professeur Janusz Skalski, qui m’a permis d’accéder à son exceptionnelle collection d’ouvrages anciens et de traités médicaux, parmi lesquels figurent des trésors tels que les œuvres de Vésale, l’édition française du De Materia Medica de Dioscoride de 1537, et bien d’autres merveilles qui enrichissent cette exposition. Enfin, je rends hommage à Małgorzata Kot, sculptrice, dont les œuvres, alliant réalisme et sens aigu de la composition, apportent une dimension artistique remarquable à l’exposition. À toutes celles et ceux qui m’ont apporté leur bienveillance et leurs conseils pour donner à cette exposition la meilleure expression possible : un immense merci.


Oskar OSTAFIN

Vice-président de la Société des Passionnés d’Histoire de la Médecine de Cracovie

 

Photographies des médailles : Oskar Ostafin - Photographies du vernissage : Jarosław Roś

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Professeur à l'Université de Cracovie

Directeur des Archives de l'Académie Polonaise des Sciences et des Lettres

MERCREDI 27 AVRIL 2022 à 19h

Autour de la situation (inter-)religieuse en Pologne dans les années 1918-1939

LA SEMAINE DE L'UNITÉ CHRÉTIENNE : DU 18 AU 25 JANVIER 2021

(Par Père James Murphy, Co-directeur de la Comité Œcuménique des Ferns)

Cette tradition existe maintenant depuis 113 années.

Il était créé en 1908 par le Père Spenser Jones, prêtre anglican en Angleterre, le Père Paul Wattson, prêtre épiscopal américain, et un petit groupe catholique romain de frères et sœurs franciscans à New York.

Huit ans après, en 1916, le Pape Benoît XV a promu l'observance à travers l'église Catholique Romaine entière. Après le 2° Concile Vatican en 1965, toutes les Églises chrétiennes se mettaient d'accord d'observer « une semaine de la prière pour l'unité chrétienne ».

Depuis 1968, elles ont travaillé ensemble afin d'aider tout chrétien à prier pour l'unité, qui était la prière de Jésus lui-même « Qu'ils soient tous Un ».

Dans l'Évangile de Jean 15:17 Jésus nous demande, même nous commande, même, à « s'aimer les uns les autres ». Donc même, en diversité nous pouvons être gentils, souciants, ou bien aimables envers l'autre.

 

La semaine de la Prière pour l'unité chrétienne est un moment privilégié pour la prière, la rencontre et le dialogue. C'est une opportunité à reconnaître la richesse et la valeur présent dans l'autre, en particulier présent en ceux qui sont différents de nous-mêmes, et demander à Dieu le don de l'unité pour mieux atteindre sa commande de prêcher l'Evangile, les bonnes nouvelles, au monde entier.

Le Pape François dit que « tout chrétien est appelé à témoigner les bonnes nouvelles au milieu de nos vies de tous les jours ». La Semaine de prière pour l'unité chrétienne est aussi un moment pour nous tous de réfléchir nos attitudes envers l'œcuménisme.

Notre histoire personnelle, familiale et communautaire a tendance envers cela.

Nous avons toujours besoin de fortifier nos déterminations œcuméniques.

Et encore, dans les paroles du Pape François devant le Concile mondial des Eglises à Genève en 2018 : « Pour nous en tant que chrétiens, de marcher ensemble n'est pas un complot à grandir nos propres positions, mais est plutôt un acte d'obéissance envers le Seigneur, et de l'amour pour notre monde. Demandons le Père de nous aider à marcher ensemble, plus résolument dans le chemin de l'Esprit Saint ».

Fortifier nos relations œcuméniques n'est donc pas une option de plus pour nous, mais plutôt une partie de notre foi, à quoi nous devons être sincèrement attachés.

Chaque année, les églises variées dans des pays différents se rejoignent à offrir à tout chrétien à travers le monde, des cérémonies afin de célébrer cette Semaine de Prière pour l'unité chrétienne. Cette année la communauté monastique de Grandchamps en Suisse nous offre le thème de l'Evangile de St Jean chapitre 15 de « gardez-vous dans mon amour et vous porterez beaucoup de fruit ».

Ceci faisait partie de la discussion avec les Apôtres autour de la Cène. Ceci est le but de tout chrétien, dans n'importe quelle église où nous sommes membres. C'est à dire, d'être aimant et gentil à nos familles et nos voisins, ainsi qu'à tout étranger et toute personne en besoin.

La désunion des chrétiens est un problème énorme, même un scandale pour toutes les églises. Le chemin vers l'unité des chrétiens essaie cela de façon régulière avec des défis, au fur et à mesure qu'ils apparaissent ou disparaissent.

Ce moment-là est idéal afin de décider personnellement, et en communauté de prière, de faire vivre la prière de Jésus, « que nous tous soient un » même si ce n'est qu'un tout petit peu plus dans nos églises et nos diocèses.

Dans nos vies personnelles, nous devons essayer le mieux possible de respecter les croyances les uns les autres, et d'encourager les uns envers les autres d'augmenter nos efforts vers l'unité Chrétienne.

Donc, dans nos lectures de ce soir, nous entendons ces grandes paroles du Christ : « Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à la Bonne Nouvelle ».

C'est exactement la même chose l'unité des Chrétiens. L'acte de conversion n'est pas une quantité de choses qu'on puisse compter et qualifier et ensuite mettre dans un cahier, ou un casier et y retourner s'en servir plus tard. Une conversion est une chose qui doit être pratiquer tous les jours, un peu comme l'exhortation de St Paul dans 1 Thessaloniciens 5 : 17 – « Priez sans cesse ». C'est une activité qui doit être faite constamment, à tout moment. Nous sommes encouragés à nous convertir à chaque moment, et ceci toujours vers la vérité de Jésus, et dans la confirmation de la foi.

Nous croyons que Jésus, par sa mort et sa résurrection, nous offre la vie éternelle. Mais pour accepter cela, il nous faut vivre DE sa parole. La foi sans les actes n'est rien : dire « je crois » ou « j'accepte le salut offert par le Christ » sans conformer et convertir notre vie à sa parole, à l'amour qu'il nous offre – les uns pour les autres – est autrement une illusion !

Suivre Jésus, c'est donc vivre de sa parole, c'est aussi proclamer autour de nous le salut offert par le Christ ! Il ne s'agit pas là de faire du prosélytisme, mais d'être simplement témoin du salut offert par Dieu.

Quelle est la différence ? Le proselytisme impose, le témoignage partage, et propose en respectant la liberté de chacun. Dieu ne s'impose pas, il s'offre ! C'est bien dans ce sens qu'il faut comprendre cet appel de Jésus : « Venez derrière moi. Je ferai de vous des pêcheurs d'hommes ».

Être pêcheurs d'hommes, c'est témoigner de l'amour de Dieu et ensuite aider ceux qui ont accepté le salut à y conformer leur vie et tout leur être. Nous ne pouvons pas laisser passer cette opportunité ! Cette vie, plus ou moins longue dans la durée, mais toujours courte, puisque « l'apparence de ce monde passe » (1 Cor 7:31). Ensuite, une éternité avec Dieu et ses fidèles dans une vie et un bonheur complets, – ou loin de Dieu – avec les infidèles – dans une vie et un malheur totaux.

Ainsi, les heures, les jours, les mois et les ans ne sont pas faits pour les gâcher, ni pour s'installer confortablement et les passer sans peine ni gloire dans un stérile « aller comme si, comme ça». Ils sont faits pour vivre – ici et maintenant – ce que Jésus a proclamé dans l'Evangile salvateur : vivre avec Dieu en aimant tout et tout le monde, où on peut écouter « Très bien, serviteur bon et fidèle – entre dans la joie de ton Seigneur » (Matthieu 25:23).

 

AMEN

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22 avril 2017 - Invité Père Guy Gilbert

Messe suivie d'une conférence

 

Nous avons eu le plaisir et l’honneur d’accueillir le Père Guy Gilbert pour une Célébration Oecuménique, venu nous faire part de son expérience auprès des jeunes, une oeuvre mise en place depuis plusieurs années et qui tend la main aux jeunes en difficultés.

 

Une conférence est organisée qui durera jusque tard le soir avec des débats et projections, le Père Guy nous montre les images de son refuge et nous parle de son association « Association Père Guy Gilbert Bergerie de Faucon ».

 

La soirée est conviviale et enrichissante, un grand moment de partage.

 

Vous pouvez retrouver le Père Guy Gilbert sur le lien suivant : www.guygilbert.net

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16 mai 2015 - Père Pierre de Parcevaux, Prêtre du Diocèse de Paris - rencontre à l'occasion de la sortie de son livre "Dealer de Vie" aux Editions du Jubilé

 

DEALER DE VIE 

Par le Père Pierre de Parcevaux, prêtre du diocèse de Paris.

Témoignages, enseignements, renseignements, détresses, urgences… la vie, mélange de joies et de peines, de victoires et de déceptions.

Pas le temps de donner du temps au temps alors qu’en matière d’overdose chaque minute compte, qu’un gosse se love sur ses blessures, que des parents sont à bout de larmes. Ca n’arrive pas qu’aux autres… Il faut aussi prévenir. Alors l’auteur, entre squats, ministères, urgences des hôpitaux, commissariats de police nous donne cet ouvrage, émouvant, tonique, sans fioritures… à son image.
Pour tenir, il y a les compagnons de route, parce qu’il est prêtre, l’Évangile et puis… la Luciole.

Aider les victimes, soutenir les proches, dénoncer les trafics, livrer des expériences, alerter sur les nouvelles addictions, et cela, sans pathos inutile mais avec une infinie compassion alliée à une lucidité sans faille… Tout y est en une ardente nécessité.

Pierre de Parcevaux. Prêtre du diocèse de Paris. Plus de quarante années de terrain auprès des jeunes et des familles touchées par la drogue.

Responsable de l’association La Luciole. Alliant réflexion et action, auteur de nombreux articles, conférences, ouvrages, il est considéré comme un expert particulièrement averti.

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